Les premiers jours de travail sont toujours difficiles à gérer, mais Nowa est absolument plongé dans le grand bain au début d'Eiyuden Chronicles : Hundred Heroes. Notre héros est enrôlé dans une opération militaire conjointe entre sa nation et l'Empire, mais peu de temps après, ils lèvent une armée pour résister à l'invasion impériale. En chemin, vous rencontrerez et recruterez plus d'une centaine de héros (d'où le nom) pour renforcer ladite armée.
C'est là que réside le premier problème du jeu, et je suis vidé d'avoir formulé des griefs si tôt. Le nombre de héros semble impressionnant, et il l’est, mais cela signifie perdre de la profondeur avec les personnages. Une poignée de personnages sont étoffés, comme le trio principal et d'autres, mais beaucoup d'entre eux ne sont essentiellement que des caricatures unidimensionnelles. Cependant, je me battrai contre n'importe qui pour Francesca, car elle est l'une des représentations les plus précises d'une guérisseuse que j'ai vue.
Pour jouer, Hundred Heroes est principalement un tarif JRPG typique avec des batailles au tour par tour, de nombreux chiffres et de grandes quantités d'équipement et d'objets à gérer. Les batailles suivent une barre en haut de l'écran permettant au joueur de connaître l'ordre actuel des actions, y compris les ennemis. Vous êtes donc encouragé à utiliser l'ordre du tour pour éviter les dégâts en éliminant ou en arrêtant les ennemis avant qu'ils ne puissent attaquer.
Les batailles permettent un groupe de six personnages répartis sur deux rangées, les ennemis ayant la même configuration. Vos personnages ont des portées d'attaque différentes, vous devez donc faire attention aux placements au sein de votre groupe, car si vous avez quelqu'un sur la dernière rangée avec une portée courte, vous ne pourrez pas toucher quoi que ce soit – ce que je pense certainement. n'a pas faire au moins trois fois.
Vous sélectionnez toutes les actions de votre groupe avant de les jouer dans l'ordre avec les ennemis agissant à leurs moments précis dans la séquence. Une fois que vous avez confirmé ces actions, cela vous enferme dans ces choix jusqu'à ce que tous les tours soient terminés, ce qui inclut même la guérison et d'autres compétences défensives. Si vous jugez mal les choses et ne parvenez pas à garder un œil sur ces barres de vie, vous vous retrouverez avec des héros assommés avant de vous en rendre compte.
Certaines rencontres comporteront des gadgets pour vous aider, comme utiliser le tour d'un personnage pour activer des pièges ou manipuler le champ de bataille. Cela bouleverse considérablement le combat, offrant des moyens amusants d'abattre l'ennemi. Cependant, certains de ces gadgets ne sont pas bien réalisés, devenant plus une frustration que quelque chose de véritablement utile – en vous regardant, marteaux de Magical Girl.
Tous les membres du groupe peuvent recevoir des Rune-Lenses pour leur donner des sorts ou améliorer leurs statistiques, et ceux-ci peuvent être modifiés dans les magasins où vous les achetez et dans d'autres endroits du monde, tels que votre port d'attache. Au fur et à mesure que vos personnages gagnent des niveaux, vous pouvez équiper plusieurs lentilles pour donner des bonus supplémentaires, c'est donc quelque chose que vous devez vérifier souvent pour réussir.
Si rien de tout cela ne semble particulièrement révolutionnaire, c’est parce que ce n’est pas le cas. Il y a peu d'aperçus de quelque chose de nouveau, comme le duel dynamique en tête-à-tête aux points narratifs clés, ou la possibilité de placer les personnages dans une rangée de support pour les batailles, mais ces nouvelles fonctionnalités et mécanismes sont rares.
Cela dit, le gameplay instantané est dans son ensemble mécaniquement solide et parfois incroyablement satisfaisant, en particulier dans les combats. C'est probablement parce que, comme il s'agit d'un successeur spirituel de la série Suikoden, les combats sont spécifiquement [ay homage to the combat of classic JRPGs with enough modern conveniences and little touches to avoid feeling repetitive.
But, it’s not just adventuring and small scale battles, though. At certain points you enter into large skirmishes in which Nowa and the others are the captains of squadrons on the battlefield. Here you engage the enemy by entering the same square on the grid as them, with the victor pushing the other to retreat a square. These break up the standard gameplay, and are very interesting in concept, but are laboriously slow and clunky.
Then you have the base building. After a certain point in the story you can spend resources gathered out in the world to expand your base and gain perks. Sometimes these expansions will require the recruitment of a particular hero to run the new area, which will be indicated with a silhouette. You can’t design the rooms or anything, but this gives a fun little tangible reason to actually explore, beyond getting to open a few chests.
Easily one of the biggest draws of Eiyuden Chronicles: Hundred Heroes is the aesthetic, with some gorgeous visuals that blend 2D sprites with 3D surroundings to incredible effect. It’s not quite as seamless in this attempt as say Octopath Traveler, and to me feels more reminiscent of the original Final Fantasy VII. It’s beautiful, nonetheless.
The music and sound design also deserve praise as both are incredible, with the battle music itself being a particular highlight, but I’ve not heard a single bad track in the game. Also, with every main character having not only voice acting, but fantastic voice acting, it’s clear that the audio matches the visuals for quality. The only negative here is that I wanted more of it: more voice lines, more music, more sound effects, more everything.